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Trois Ballons (juin 2010)

Cyclosportive « Les trois Ballons » - Champagney (Haute-Saône)
Samedi 12 juin 2010
par Guy Beerens

Vendredi 11 juin : je suis à Champagney en compagnie de mon fils Stéphane pour le retrait des dossards. C'est le moment qu'il choisit, veille de l'épreuve, pour m'annoncer que son vélo fait un drôle de bruit et ce depuis qu'il a changé la cassette. Devant l'équipement de son vélo, je le trouve un peu optimiste, son plus grand pignon étant un 23 dents. Moi qui possède un 27 et qui aimerais bien avoir un 28 ! Après une petite inspection du matériel, un petit contrôle, je comprends d'où vient le bruit bizarre : la cassette est certes neuve, mais la chaîne, elle, est usée. Il est 17 heures, veille de la cyclosportive et il ne reste plus qu'à trouver une chaîne et la monter ! Sur le village de départ, nous trouvons un marchand qui vend des chaînes et qui se propose pour la monter. Sauvés !!! Stéphane s'apprête à régler avec sa carte bancaire mais le vendeur-mécanicien n'accepte pas le paiement par carte bleue. Je sors donc 26 ¤ de ma poche ; j'avais déjà payé le vélo, je ne vais donc pas chipoter pour une chaîne ! Et puis, c'est un peu de ma faute : si j'envoyais plus souvent un chèque « entretien vélo » à mon fils, l'état du cycle laisserait peut-être moins à désirer ! Un petit réglage d'indexation et un essai sur route, ça a l'air au point. Nous verrons bien demain ! Pour le moment, nous retournons chez Stéphane, à Luxeuil-les-Bains, avec nos plaques de cadre en poche.

Samedi 12 juin : c'est la « Saint Guy » au calendrier mais seulement sur l'éphéméride! Car cette journée, je ne la sens pas... Réveil à 5 heures, toilette rapide, petit-déjeuner. Stéphane, roi de l'organisation, a tout prévu sauf ... le pain. Pour les tartines, c'est raté et au moins je n'aurai pas de difficultés à les digérer. Pour Stéphane, par contre, pas de problème : il sort du réfrigérateur des pâtes cuites la veille auxquelles il ajoute du fromage blanc et de la confiture ; le tout ressemble à une pâtée pour cochon ; il s'enfile, vite fait bien fait, cette mixture froide. Il n'a pas besoin de pain mais d'une banane pour finir. Il est prêt ! Nous chargeons les vélos, direction Champagney, ville de départ. Il a plu durant la nuit, la route est mouillée, le ciel plombé. Cela ne va pas être la joie ! Mais il ne fait pas froid. Nous arrivons à Champagney trente minutes avant et nous ne cherchons pas à nous placer sur la ligne de départ ; nous prenons notre temps. La pluie commence à s'inviter ; j'hésite à prendre l'imper ; le thermomètre affiche 15° à 7H ; je décide de partir manches et cuissard courts ; pourquoi se charger inutilement ? Nous nous rendons au départ. Il y a beaucoup de monde. Je lis les nombres de 2500 et plus sur les plaques. Plus de la moitié du peloton est constituée d'étrangers, essentiellement des Belges, des Hollandais et quelques Allemands. Autour de nous, personne ne s'exprime dans notre langue. Nous sommes placés loin de la ligne de départ. Et à 7H20, lorsque la cloche retentit, rien ne bouge encore pour nous et c'est normal. Il nous faudra encore attendre quelques minutes pour pouvoir nous élancer. Ça roule bien, mais pas à bloc. La route, trempée, est dangereuse. Première chute dans le peloton à la sortie de Champagney (306 m d'altitude) au niveau d'un passage à niveau. Puis un faux plat montant (Plancher bas 440 m, Plancher les Mines 475 m et une deuxième gamelle) nous conduit au pied du Ballon de Servance (sommet à 1200 m d'altitude). Dans la cohue du départ, j'ai perdu Stéphane ; je sais qu'il se trouve quelque part derrière moi ; le métier a fait la différence ! Je suis au pied du Ballon de Servance et cette fois, j'attaque véritablement dans le dur. La sélection ne s'est pas encore faite. La route n'est pas large, il y a foule, il est pratiquement impossible de doubler. Tous les 100 mètres, je croise des cyclistes en train de changer leur chambre à air. La route est couverte de gravillons. Pourvu que nous passions au travers des crevaisons ! Nous n'avons pas besoin de ça. Mais qu'on se le dise : les gravillons du Ballon de Servance sont redoutables !

Avant la mi-col, Stéphane, bien assis sur sa selle, 23 dents en prise, me passe, les mains en haut du guidon. Il me demande si ça va ; je préfère ne pas lui répondre et garder mon souffle. Je pensais tenir devant plus longtemps ; et dire que c'est moi qui lui ai appris à faire du vélo il y a trente ans ! Il a bien retenu les leçons. Je n'essaie même pas de le suivre. Sur la gauche de la route, il remonte tranquillement le peloton et je le vois disparaître dans les lacets du col. En 2006, sur cette même épreuve, nous avions fini ensemble en 9H36 ; cette année, l'un de nous deux va finir devant et je crois bien que ce ne sera pas moi. Je double un gars qui n'a plus qu'une jambe ; il monte au moins à 8km/h. Il faut le faire ! 23ème kilomètre et je bascule au sommet. Pour parvenir à remonter la moyenne, c'est cuit : route glissante, tous les virages sur les freins, ce n'est pas facile. Au bout d'une ligne droite, avant une courbe à gauche, une trentaine de bidons gisent sur la route. Les cyclistes freinent, zigzaguent pour les éviter. Mais pourquoi autant de bidons à cet endroit-là ? Je ne vais pas tarder à comprendre : je passe sur une bosse et mon bidon se fait la malle ! Je bois peu mais impossible de continuer sans mon bidon. Je m'arrête un peu plus loin car derrière ça déboule à plus de 50 km/h. Je pose mon vélo dans l'herbe et remonte à pied pour le récupérer parmi les autres. Dans le fossé, il y a au moins une cinquantaine de bidons. Je retrouve le mien, forcément le plus éloigné du lot ! Je retourne à mon vélo, et quitte à perdre du temps, j'en profite pour me soulager la vessie ; de ce côté-là, me voici tranquille. Quelques soucis pour repartir car je n'ai pas envie d'être percuté par un gars. Après quelques hésitations, ça repart ; incident terminé.

Je redescends au Thillot (560 m) pour attaquer le col du Ménil (621 m), puis le col d'Oderen (Haut Rhin), plus dur (884 m). Descente, puis un peu de plat le long du lac à Kruth. A Wildenstein, au km 67, j'attaque le col de Bramont (Vosges, 456 m de dénivelé, 963 m d'altitude). Petite descente de 800 m, puis remontée sur la route des crêtes par la route des Américains. Quelques gouttes tombent sur la route des crêtes, la visibilité est réduite (30 m) à cause du brouillard. A cet endroit, Stéphane se plaindra du froid. Moi, je trouve la température supportable ; je dois être en surchauffe. Je passe le col du Herrenberg (1186 m). Le soleil commence à percer lors de ma descente sur la station de ski du Markstein (1112 m). Un léger faux-plat montant me conduit au pied du Grand Ballon ; à 3 km du sommet, la pente augmente un peu ; les derniers 1500 m sont encore plus pentus. En haut, premier ravitaillement à 1325 m d'altitude et au 99ème Km. Je ne vais pas jouer les malins : étant donné le petit-déjeuner frugal du matin, un arrêt buffet s'impose. Pour le prix de l'engagement (34¤), c'est léger : bananes, pâtes de fruit, cakes, casse-croûte fromage et mortadelle et pour boisson eau avec sirop. Le sucre : je sature un peu ; pourtant je n'ai consommé que deux barres énergétiques ; j'opte pour du pain avec du fromage. Le camembert est coulant à point ; il suffit de le glisser dans un bout de pain et d'appuyer légèrement pour l'étaler. Je remplis le bidon, emmène une demi-banane et repars. Aucun problème dans la descente ; la route est sèche sauf aux endroits sous les arbres. Arrivé à Whiller Thur, arrêt obligatoire au feu rouge ; pas question de le griller ; un bénévole fait la circulation. Un petit peloton se reforme. Je continue sur Bitschwiller les Thann (373 m) pour attaquer les 7 km d'ascension du col du Hundsruck (748 m avec passages à plus de 10%). Je franchis le sommet (123ème km). Petite descente, puis 15 km de plat, avec quelques feux rouges pour travaux qui ne me font pas gagner du temps. Arrivée au lac de Sewen (145ème km) et deuxième ravitaillement. La misère : sur une table de 1,50 m, quelques tranches de cake, des casse-croûtes à la mortadelle, des pâtes de fruit, des bananes, de l'eau et du sirop. Les casse-croûtes sont au soleil ; tant pis : je prends le risque !

De 435 m d'altitude, je vais devoir monter le Ballon d'Alsace à 1200 m en 8 km. J'arrive en haut, pas très frais mais pas encore cuit. Six kilomètres de descente sur route sèche jusqu'à Giromagny ; ensuite 20 km pour repasser par Champagney. Un groupe de sept me rattrape. Contrairement à l'année 2007 où, à ce même endroit, j'avais du mal à rouler à 20 km/h, là, un costaud est devant et nous emmène entre 37 et 40 km/h. Je trouve le rythme un peu rapide pour moi ; au bout d'une dizaine de kilomètres, je décide de laisser filer le groupe. Les dix derniers kilomètres avant Champagney ne sont qu'une succession de côtes et de descentes. Et les côtes, aujourd'hui, je commence à en avoir marre ! Retour à Champagney, 185ème km et troisième ravitaillement. Je m'arrête : eau, pâtes de fruit ; ça ne m'intéresse pas ; je repars. Comme au départ, même route... la différence ???? Réponse : 15km/ h de moins ! Je roule à 20 km/h et ça me suffit. Quatre kilomètres après Champagney, je passe devant un troquet. En cycliste prévoyant, j'ai toujours un peu de monnaie dans la poche et l'idée de me taper un demi me caresse l'esprit. N'écoutant que la voix de la raison, le brevet d'or pratiquement en poche, je continue ma route. A Plancher les Mines, autre estaminet, en terrasse une dizaine de cyclos sont en train de se désaltérer. Je ne résiste plus à la tentation, mets la flèche à droite, pose le vélo, direction le bar. Le service est un peu long ; c'est normal car beaucoup ont soif. Mais la différence entre eux et moi, qui peut sembler dérisoire mais qui en fait est énorme, c'est qu'ils ont, eux, déjà monté la Planche et en sont redescendus. Pour moi, tout reste à faire. Je descends mon demi plus vite que le Ballon d'Alsace ; je ne regrette pas mes 2 ¤ ; je remonte sur mon cycle et repars pour le final.

Huit heures quarante-sept après le top départ, 200 km parcourus à 22,80 de moyenne et un demi plus tard, je suis au pied de la Planche des Belles Filles ; environ 5 km d'ascension, 460 m de dénivelé avec passages à plus de 14%. La pente moyenne des 4 premiers kilomètres est à plus de 10%. Je mets tout à gauche et j'attaque. A 6/7 km/h je suis à fond. Beaucoup montent à pied. Arrivé au bas du passage à 14%, je lève les yeux. Grosse erreur ! Car je le redis pour les novices : « le moral chez le cyclosportif fatigué est inversement proportionnel au pourcentage de la pente ! ». Pour faire court, je regrette d'être venu, je n'essaie même pas de passer et je mets pied à terre. Même à pied, avec les cales Look, ce n'est pas facile. Stéphane doit être en haut ; je n'ai pas mon téléphone pour lui annoncer que j'ai l'intention de redescendre ; il me faut donc y aller ! Je remonte sur mon vélo ; après 900 m, ça redescend. Un petit ravito en eau : je chope un gobelet et je continue. Je passe devant le panneau : « 2ème km, pente moyenne 10,4% ». Et là, deuxième conseil aux débutants : « quand on s'engage dans ce type de divertissement, il est préférable de ne pas savoir lire ». Le peu de ténacité qu'il me reste s'envole à la lecture de cette pancarte. Je remets pied à terre. Après un peu de marche, je veux remonter sur ma selle mais impossible de pédaler. A chaque remontée de la jambe droite, je sens une crampe arriver à l'intérieur de la cuisse. Étirements, massages, rien n'y fait. Dès que le genou plie, la crampe survient. Après quelques tentatives et du temps perdu, je décide de finir à pied. Il me reste au moins trois kilomètres à parcourir. A 500 m de l'arrivée, c'est presque plat. A cet endroit, tout le monde est sur le vélo ; même mon petit-fils n'aurait aucun mal à passer en tricycle. J'essaie de pédaler : impossible. Je remets pied à terre. Des spectateurs m'encouragent, pensant que je n'ai plus assez de force pour appuyer sur les pédales. Pas le temps de donner des explications ; je passe donc pour un rigolo. En m'approchant de la ligne, je me dis que je vais être l'un des rares cyclistes à passer sur le tapis électronique à pied. Heureusement, le tapis est placé quinze mètres après le sommet, dans une petite descente. En haut, j'en profite pour sauter sur mon vélo, me laisser glisser sur 15 m. Ça bipe... Les Trois Ballons 2010 sont dans la boîte en 9H 54mn 50s. Cinq minutes de plus qu'en 2007. Mais obtention du brevet d'or à cinq minutes près. À cet instant, je me dis que pour moi c'est sûr, c'était la dernière fois.

Je passe devant le stand où l'on distribue du jus d'orange frais. Je bois 4 gobelets d'affilée. Le serveur se demande si je vais en laisser pour les autres. Mon fils m'appelle car il m'a reconnu de loin grâce à la couleur de mon maillot de l'A.S.B. Cela fait une heure qu'il m'attend. Il me dit qu'il n'a jamais pu se mettre en danseuse car sa chaîne déraillait. Le problème est qu'il a trop roulé avec une chaîne usée et que les dents du 39 sont complètement usées. Avec la chaîne neuve, lorsqu'il veut appuyer plus fort, celle-ci monte sur les dents et finit par riper. Il m'explique que cela a été un avantage ! J'en ai déjà entendu, mais là c'est le pompon ! Son raisonnement : étant donné qu'il ne pouvait pas pédaler comme il aurait voulu, il s'est économisé par force, ce qui lui a permis de ne pas exploser dans le final comme en 2006. C'est sa façon positive de voir les choses. Moi, quand j'entends cela, ça confirme mon impression : je ne suis plus dans le coup et il faut vraiment que j'arrête. Avec de l'entraînement, je pense qu'il est capable de boucler le parcours en moins de 8H30. Après une heure de récupération, couché sur le dos, il me faut repartir et la voiture est stationnée à 15 km. Ma crampe me laisse tranquille ; mes genoux sont grippés mais ça va aller. L'idée de chausser des baskets et de m'asseoir sur un siège moelleux me motive. A 18h30, les vélos rangés dans la voiture, nous rentrons. J'en ai plein les bottes.

De grâce, pendant quelques jours, ne me demandez pas si je veux aller rouler. J'ai encore besoin d'un peu de temps pour apprécier cette épreuve.

Classement :
1er BARTBURI (Hollande) : 6h28mn 32s 31,65 de moyenne
728ème BEERENS Stéphane 8h50mn20s 23,19 de moyenne
1134ème BEERENS Guy 9h54mn50s 20,67 de moyenne
1442ème et dernier classé VERMULEN (Belgique) : 12h44mn

Cyclosportive « Les trois Ballons » - Champagney (Haute-Saône) Samedi 12 juin 2010 par Guy Beerens Vendredi 11 juin : je suis à Champagney en compagnie de mon fils Stéphane pour le retrait des dossards. C'est le moment qu'il choisit, veille de l'épreuve, pour m'annoncer que son vélo fait un drôle de bruit et ce depuis qu'il a changé la cassette. Devant l'équipement de son vélo, je le trouve un peu optimiste, son plus grand pignon étant un 23 dents. Moi qui possède un 27 et...

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Tags : Route 2010, Saison 2010, Cyclosportive
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#Posté le mardi 15 juin 2010 17:27

Modifié le vendredi 30 décembre 2011 07:59

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gc, Posté le vendredi 18 juin 2010 13:13

Je viens de lire ton compte rendu excusse moi, j'en suis encore essoufflé, comme le dit la pub " petit mais costaud " ne te décourages pas l'année prochaine si tu te prépares avant du pourras approché des 9h00. Bravo a vous deux pour cette exploit.
gilbert


bernard, Posté le jeudi 17 juin 2010 13:52

guy en fait mon commentaire se trouve sur la "roland fangille" je me suis planté


Francois, Posté le mercredi 16 juin 2010 13:21

Euh... Guy... Concernant les nombreux belges... J'espère que tu as pensé à distinguer Wallons et Flamands... Hum...
Un grand bravo Guy, moins de 10 heures sur ce parcours "infernal", il faut le faire !...
Et que dire du chrono de Stéphane... Chapeau à vous deux et merci pour le bel article.
Connaissant cette cyclo pour l'avoir tentée sans succès en 2007, j'en garde un souvenir plutôt mitigé, je ne suis toujours pas certain de vouloir découvrir enfin un jour cette fameuse "Planche", même peuplée de belles filles...

PS : ce blog va beaucoup trop vite !!!
D'accord, la saison bat son plein mais quand même !!! Quelle santé !!!
Pfouuuuuuuuuuuuuu !!!
;-)
FF


ptite-reinette-2, Posté le mercredi 16 juin 2010 12:32

Bravo GUY tu as bien fait d'insister, mais tu sais il n'y a pas de secret, pour cette aventure tu manquais évidemment d'entrainement, mais avec ta préparation "tranquille" ta perf est loin d'être ridicule, encore bravo et en plus ton fils, pour l'avoir suivi à Massy je peux te dire qu'il a des "watts" - as tu noté le nombre de côtes et cols avalés pendant cette journée ! tu vas mettre la semaine pour récupérer mais tu l'as fait et fini et c'est l'essentiel ! à plus ...JPB


Mathieu, Posté le mercredi 16 juin 2010 09:33

Bravo Guy pour cette petite balade tranquille;-)) La région est magnifique mais lors de ma découverte du Grand Ballon et de ses environs je n'avais pas trouvé ça si difficile. C'est surement parce que j'étais en voiture! Sans rire, félicitations, c'est une épreuve aussi belle que difficile et merci pour le récit.


C M, Posté le mercredi 16 juin 2010 08:16

Encore quelques mots, mon Guitou pour abonder dans tes propos, jouer au vieux soldat racontant
ses campagnes, aux jeunes indifférents. Moi aussi, j' ai connu du difficile et j' étais loin d' avoir
'tes jambes'. En particulier lors de deux Etapes du Tour' à la dureté équivalente aux 'Trois Ballons'
- La 'Pau-Bayonne' du 16/7/2003 202 km 3930 m avec le Col du Soudet, le Col de Bagargui, Col
de Burdincurutchéta. 4305° sur plus de 7000 inscrits; Argent.
- La 'Foix-Loudenvielle du 17/72007 199 km 4400 m avec les cols du Port, du Portet d' Aspet, de
Mente, port de Balès, col du Peyressourde.4605° sur 4655 classés. "Chemin de Croix" titrait ' Vélo
Magazine'. 1/3 d'abandons. Ma plus dure épreuve, 12h20 de selle.
Oui, il est temps d' être plus raisonnable, mais continuons à nous 'amuser' sur du plus facile.


Michel, Posté le mercredi 16 juin 2010 08:11

Un seul mot s'impose: BRAVO

En te lisant, je n'ai pas de mal à imaginer les périodes de doutes et l'envie de laisser de tomber. Heureusement, il y en a toujours devant (ton fils en l'occurrence) qui te motivent indirectement pour continuer et les rejoindre...

On doit être fous pour se faire mal comme ça et en redemander malgré tout...

Bonne récupération

Michel U


C M, Posté le mercredi 16 juin 2010 03:02

Ami Guy, je ne te connaissais pas ces talents d' écriture. Malgré ton mutisme envers mes 2 récents articles
(tu n' es pas le seul... bof !), je te félicite bien sincèrement ainsi que Stéphane. Mes petits 92 km ne sont rien
en comparaison de tes 206 et 4300 m de dénivelé. Tu as très bien raconté ta progression sans oublier le
moindre détail. Tu nous fait partager ta souffrance et l' on souffre avec toi. Les présents de 2007 vont apprécier
encore plus ton compte rendu. Pour mémoire : Caretti 9h11, Oziol 9h39, Toi 9h50, Warin 12h30 *. Crois moi, tu
es toujours dans le coup, tu fais l' or et tu ne perds que 4 min en 3 ans ! Mais je te comprends... il est temps pour
nous de participer à des épreuves moins exigentes en km et en dénivelé,.. et tant que l' on y trouve du plaisir...
continuer. Heu ! un petit decrassage, demain jeudi ? Je te remercie. Michel.
* Abandon de Fine.


marie-ange, Posté le mercredi 16 juin 2010 00:34

"Walk"... Sais-tu, Claude, que sur le parcours de la Jovacienne, j'ai envisagé deux possibilités de reconversion après le vélo : soit le golf dans la Haute Vallée de la Bièvre, soit un trek au Tibet ("l'Amdo trail")? Et pour une reconversion progressive et douce, je vais m'intéresser désormais au calendrier "marche" en page 53 du guide ffct. (clin d'oeil)!
M.A.


claude-alain, Posté le mardi 15 juin 2010 17:51

Bravo Guy ! Voilà bien le type d'épreuve que je ne ferai jamais ! Alors autant les vivre par procuration à travers le récit des "fadas" qui osent s'y aventurer ! Décidément, pour les Beerens, ce week-end était placé sous le signe non pas du "run and bike", alternance de course à pied et de vélo, mais bel et bien de "walk and bike"... (sourire!) Ce qui n'enlève rien à vos mérites respectifs. Encore bravo ! Et à bientôt sur le vélo... quand tu auras digéré cette rude épreuve !


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