STAGE MICHEL WARIN – ROSAS – ESPAGNE
DU 20 AU 27 MARS 2010
Excellente idée de Dominique et Michel Warin, connaissant bien Rosas : ils proposent à la quinzaine d'habitués du stage de Mars de sortir de l'hexagone. Bien leur en a pris et le succès fût au rendez-vous puisque quarante-trois personnes ont répondu présentes à cette invitation. L'exotisme, la douceur du climat catalan, et l'attraction du coût firent pencher la balance pour l'émigration sur la Costa Brava.

Samedi 20 Mars – 7h00.
Place de la Mairie de Limeil-Brévannes : le départ est donné sous un ciel gris et bas. Direction plein sud : l'A6, puis l'autoroute de l'Arbre via Nevers, Moulins, Clermont-Ferrand, puis l'A75 gratuite et nous arrivons vers 13h30 à l'arrêt pique-nique prévu sur l'aire de repos du splendide viaduc de Millau. Tout le monde répond présent et va pouvoir se restaurer. Maryan, Yvette Kolasiac et Jacky Maréchal, Alain et Cathy Alarcon pilotant les organisateurs Michel et Dominique Warin, Michel et Coco Douet, Bernard et Mireille Oziol, Doudou et ses femmes, France la légitime, Gigi Marié et Isabelle Platrier, les Brepson Yves et Josette, n'oublions pas nos deux passagères de luxe, Ophélie et Nathy, nos chiennes préférées.
Certains ont choisi le train comme moyen de locomotion, Pascal Leclercq, Alain et Mauricette Corsin, Patrice Caretti, Marc Ridel, Daniel Pilavoine du VCR Sénart, greffé à notre groupe (voisin de Patrice et de François à Brunoy) et Michel Cantalou.
Francette et Michel Bernard sont descendus du Grau-du-Roi, James, Nicole Savin et sa s½ur Raymonde arrivent tout droit de Niort, François Fine a quitté Gap pour mettre le cap au sud et les jeunes, Olivier Jeanningros, Angelo De Felice et Martine Célie ont profités du minibus de Patrick Guillain accompagné de Fatiha Snadji, pour venir compléter le groupe. J.R. et Lulu Bouat sont partis la veille pour faire une halte dans le Lot.
Deux couples d'invités ont gagné notre estime en se joignant à nous, Daniel et Edith Hul voisins de Mickey en Seine-et-Marne et Louis et Gerda Vrindts descendus tout droit d'Anvers en Belgique (qui vaut l'endroit d'ailleurs !), une fois !
Tout ce monde va se retrouver à l'Hôtel Maritim de Rosas vers19h30, pour le pot de bienvenu. Ce bâtiment, posé au pied de la plage ressemble à un navire ancré au bord de la grande bleue.
Je suis personnellement heureux de revenir à Rosas, ville touristique et marine avec sa promenade en bord de mer de plus de quatre kilomètres et ses palmiers abris des perruches sauvages qui se disputent les restes de dates. Cette jolie petite bourgade exotique est située au Nord de la Costa Brava, à moins de trente kilomètres de la frontière française, à soixante cinq kilomètres de Gérone la capitale de la Catalogne, à cent cinquante kilomètres de Barcelone et à quatre vingt kilomètres au sud de Perpignan, dont la gare est « Le Centre du Monde » comme l'a déclaré le célèbre artiste Salvador Dali, enfant de Port Lligat à Cadaqués.
Les chambres sont plus que correctes avec pour certains vue sur la mer, l'hôtel, dirigé en famille est moderne, le personnel très sympathique et accueillant, l'ambiance que nous partageons avec un autre gros groupe de cyclos de plus de soixante dix personnes est au top.
Michel a prévu trois distances au choix par jour : environ quarante pour les randonneurs, quatre vingt pour les randonneurs confirmés et plus de cent pour les « sportifs ».

Dimanche 21 Mars – 8h30 :
Rendez-vous devant l'hôtel, 113 km sont au programme, temps couvert et frais, deux difficultés : le col de San Père de Rhodes, 8 km avec 6 % de dénivelé, regroupement au sommet avec vue imprenable sur Port de la Selva que nous allons rallier en descendant par une petite route parsemée de nids de poule, puis remontée sur Cadaqués pendant 6km, avec un pourcentage un peu moins élevé. A l'embranchement de Cadaqués que nous laissons sur notre gauche nous remontons encore 4 km « faciles », pour fondre pendant 5 km sur Rosas, il est 13h30. Les costauds sont repérés : au dessus du lot Louis « le Belge » suivi de très près par Patrick Guillain en manque d'entraînement, suivent Daniel Pilavoine, Daniel Hul, Patrice Caretti, François, pas encore dans le coup s'améliorera tout au long de la semaine, Pascal confirme, Olivier fait parler sa jeunesse, les autres suivront, aucun incident n'est à déplorer.
Douche, repas que l'on peut prendre jusqu'à 14h30 puis promenade et découverte du port
de Rosas l'après midi « groupir ».
Les soirées se passent au bar avec quelquefois des animateurs qui font danser l'assistance.

Lundi 22 Mars – 7h45 :
La tension et l'incertitude se lisent sur les visages au petit déjeuner : ce matin il pleut !
Les discussions vont bon train, puis la logique s'impose : on roulera en début d'après-midi. Ouf, on peut déjeuner en paix. Craignant le mauvais temps, je me dégonfle et seule une dizaine de téméraires s'élance à 14h00. Il ne pleut presque plus seul la route reste humide, il y avait 105 km au programme et quelques bosses du côté de Cistella, Terrades et Boadella. En me promenant avec Michèle et Ophélie sur la plage je regrette un peu de ne pas avoir roulé, tant pis, je me rattraperai demain.
Mardi 23 Mars – 8h30 :
Un peu de brume au départ, vite dissipée, le soleil commence à se montrer. Ce matin, pour effectuer les 108 km, nous contournerons Figueras par le Sud, Castello d'Empuries, Vilamalia. Pour rejoindre Ordis nous traversons une route en chantier, gare aux pneus ! C'est trois kilomètres après Navata que le « consistant » arrive : petite route à droite et la bagarre peut commencer sur une route qui « moutonne » gentiment au début. Devant se placent Louis Vrindts et Patrick Guillain, Daniel Pilavoine est avec eux, derrière je suis dans la roue de François Fine. Patrice Carreti, Pascal Leclecrq, Bernard Oziol, Daniel Hul sont dans les roues. Les coups de « culs » commencent à se succéder, Louis, Patrick et Daniel Pilavoine prennent vingt mètres, je résiste un peu mais relâche quelques mètres dans de nouveaux différents dénivelés. De toutes façons ce ne sera que ça pendant les 12 km d'ascension, une succession de différents pourcentages, tous les trente mètres, variant entre 4 et 15% ! A mi parcours j'ai Daniel Pilavoine en point de mire sur qui je perds centimètre par centimètre, mais j'entends respirer derrière moi quand je tourne dans les épingles : j'ai une meute aux fesses : Pascal Leclecrq, Bernard Oziol, Olivier Jeanningros, Daniel Hul et Patrice Caretti. J'essaye de les oublier tous et je me concentre sur ma cadence : bien respirer, garder le rythme, souffler, remettre une où deux dents et me mettre en danseuse pour soulager l'effort et recommencer. Dix fois je me dis que je vais arrêter au prochain virage ! Puis j'entends revenir quelqu'un derrière moi : c'est Patrice Caretti, qui a lâché la meute et a réussi à revenir tout à l'énergie. Je suis à la fois inquiet et rassuré, ça va m'aider, à deux c'est plus facile, mais à ce moment précis je pense réellement me faire « bouffer » par la meute et finir derrière eux ! Quelques kilomètres plus loin nous gagnons du terrain sur Daniel Pilavoine, qui nous l'avouera plus tard, à ce moment précis, pensait qu'on allait faire la jonction. Je me cale sur un bon rythme et reprends quelques mètres à Patrice, le moral remonte. Quelques vaches paissent sur le bord de la route qui s'est élargie à cet endroit, je lève la tête et j'aperçois le sommet encore bien trop haut :
Patrice, c'est là haut que l'on monte ?
- Ben oui, me répond-il avec son accent francomtois !
- Alors là j'ai eu un coup de mou ! Je mets pied à terre, tant pis j'attends les autres derrière ! Je les vois, ils arrivent, j'anticipe en redémarrant un peu devant eux afin d'intégrer le groupe ! Le souffle est bon, je reprends une bonne cadence et.....et... ils ne reviennent pas ! Que faire ?... attendre où persévérer ? Je vois Patrice un peu plus haut ! Je me dis qu'il faut que je garde ma cadence sous peine de craquer, et c'est ce que je fais. Patrice me lâche irrémédiablement mais j'en fais autant avec mes camarades derrière ! Ouf je croise Louis qui revient toujours pour prendre des nouvelles de Gerda. C'est tout bon j'aurai tenu quand même, dernier virage à droite, je passe au Nord de la colline et j'aperçois les costauds arrivés devant. Je suis très heureux, finir derrière Louis, Patrick, Daniel et Patrice est pour moi une grande satisfaction et une grande joie, Michel Warin, courageux et tenace clôturera les arrivées. Les sourires au sommet sont légitimes : nous venons d'escalader le col de Mare de Deu del Mont qui n'est autre que la montée d'ARMSTRONG ! C'est là parait-il qu'il est venu s'entraîner, et maintenant on comprend pourquoi ! Eh bien nous on l'a fait ! Ah quel bonheur.
On savoure la descente mais attention, il faut rester concentrés. Je suis derrière Daniel Pilavoine et à la sortie d'un virage il roule sur un gros cailloux : sentence immédiate, crevaison à l'avant mais il est resté sur le vélo et s'arrête sans problème. La montée, comme la descente d'Amstrong ne se laisse pas apprivoiser comme ça.
Sur le retour nous croisons quelques voitures officielles des coureurs disputant le Tour de Catalogne.
Sur la quatre voie nous ramenant à Rosas ça bagarre encore un peu devant histoire de finir en beauté et de brûler toute l'adrénaline que l'on vient d'emmagasiner. Qu'elle aura été belle cette matinée ! On en reparlera encore longtemps dans les chaumières.
L'après-midi fût plus calme : la majorité découvrira le Musé de Salvatore Dali à Figueras, qui vaut le détour et nous, Ophélie oblige, nous irons nous promener et faire du shopping à Cadaqués.
La soirée s'est terminée au bar. J.R. déchaîné a fait danser toutes les femmes de l'autre groupe, qui s'y sont prêtées avec grâce et humour. Le sommeil fût dur à trouver. Des journées comme ça on en redemande.

Mercredi 24 Mars.
Journée touristique :
Michel Warin à prévu une sortir en car avec un guide pour aller visiter la très belle ville de Barcelone. Nous en sommes exclus d'office : une journée à piétiner en ville avec le chien ce n'est pas envisageable. Cathy Alarcon restera aussi à Rosas pour garder Nathy, de toutes façons le chauffeur du car refuse les animaux à bord !
Nous irons tranquillement faire un tour à Figueras histoire de visiter le « Décathlon », et les petites ruelles commerçantes, tout en n'omettant pas de faire dégourdir les pattes d'Ophélie ! Au retour les « Barcelonais » semblent tous enchantés de leur visite, Maryan a même vu le « Camp-Nou », vous êtes sûr, non ! Messi ! Ca lui a rappelé le Petit Saint Germain !

Jeudi 25 Mars – 8h30
Le soleil est avec nous, on roule en cuissard et maillot cours et on retrouve la douceur Catalane avec un peu de vent tout de même. (vers 11h on notera 18° au thermomètre).
110 km sont au programme avec ascension de la Vajol comme plat de résistance. Palau Saverda, Vilajuiga Garriguella, Espolla et nous faisons une halte à Cantallop pour la photo souvenir sous le panneau rappelant le nom de Mi-mi, pour une fois nous sommes plus nombreux avec le groupe des 90 km et son capitaine de route Yves brepson et l'incontournable et toujours jeune Alain Corsin. On passe juste sous la frontière à la Jonquera et nous attaquerons le col juste après avoir dépassé Aguilana où les deux circuits se sépareront. Ce col s'escaladera par une belle et large route, les mêmes seront devant, mais cette fois, Pascal Leclercq et Olivier Jeanningros me feront rétrograder de quelques places avant le sommet. La redescente sur des routes parfaitement asphaltées se fera sur Capmany, Sant Climent Sescebes, et même route qu'à l'aller après Rabos.
Gosse partie de manivelles sur les 8 km restant à couvrir entre Vilajuiga et Rosas. Avec un vent de trois quart face, il faut tenir dans les 4.5 km de faux-plat montant pour arriver à Palau Saverdera, nous sommes encore six où sept à prendre les relais, mais sur la fin il faut tenir. Louis et François en remettent une couche, l'écrémage s'opère naturellement à 35 km/h, puis sur les derniers trois kilomètres nous ne sommes plus que trois, avec François et Louis. J'ai l'air d'un nain à côté de ses deux géants, mais les relais fonctionnent bien et le plaisir est intense. Les jambes tournent bien, comment allons nous gérer les derniers mètres sur la grande avenue de Rosas ? Qui va craquer, certainement moi ! Mais le suspens tourne court et nous ne saurons jamais qui aura pu finir en costaud : je crève à l'avant après le panneau Rosas : tout le monde m'attends et Louis m'aide à remonter mon pneu ! Merci les gars ! Tant pis pour la bagarre, mais nous avons eu notre dose et ça restera encore un très bon souvenir. Quel plaisir de pouvoir rouler avec François bien sûr mais surtout avec ce monstre de gentillesse et d'humilité qu'est Louis. C'est un costaud sur le vélo et je suis vraiment heureux d'avoir pu le rencontrer et rouler avec lui, Gerda, son épouse est également impressionnante d'efficacité et de régularité. Merci d'avoir partagé avec nous ces très bons moments de vélo.
L'après midi sera consacré au ravitaillement en alcool et autres produits aux prix intéressants à la Jonquera. Certains auront, au retour, des voitures beaucoup plus chargées qu'à l'aller ! Ce poids supplémentaire ne serait dû qu'à la bonne tenue à table ? J'en doute, bref, passons...
C'est de l'arnaque tout ça dira Lulu, un moyen pour nous faire dépenser nos sous !
Soirée dansante au bar pour clore la journée bien remplie.
Au petit matin, une curieuse pancarte prévenait les voisins de ne pas déranger le couple Lu-lu J.R , « Just Maried », do not disturbe...deux joyeux drille sont fortement soupçonnés, Isabelle et James...mais chut, c'est encore un secret !

Vendredi 26 Mars – 8h30
Ca sent la rentrée et la fin des vacances ! Encore un joli programme concocté par Michel Warin, 108 km et le soleil va nous faire regretter de quitter cette belle région. Gageons que plusieurs d'entres nous y reviendront en vacances. Le départ sera cool, Castello d'Empuries, Peralada, Mollet, Sant Climent, Espolla, puis attaque du très beau col de Banyuls. Toujours sur un revêtement parfait. On prends les mêmes et on recommence. La route est très « vallonnée », c'est le grand huit tout le long. A mi-parcours on rattrape les derniers Brévannais partis un quart d'heure avant nous. Tout à coup un mur se dresse devant nous avec un panneau sur la droite nous confirmant bien les 10% qu'il faudra avaler pour finir les deux derniers kilomètres qui nous séparent du sommet du col de Banuyls. Je suis satisfait, les jambes étaient encore au rendez-vous pour le moment. La photo de groupe au sommet immortalisera l'instant. Au moment de me lancer dans la descente, mauvaise surprise, nouvelle crevaison à l'avant ! La réparation effectuée, nous redescendons sur Banyuls. On constate immédiatement, malheureusement, la différence de la qualité des revêtements entre l'Espagne et la France ! On a pris du retard sur ce sujet !
Le paysage en longeant la côte est sublime. Les grosses bosses se succèdent. Cerbère, Port-Bou où Daniel Hul en profite pour acheter une nouvelle paire de lunette sur le marché en attendant les retardataires du groupe, Coléra, Llança, et Port de la Selva. Je commence à accuser le coup et j'ai moins de jambes. Signe irréfutable, je ne peux pas suivre le train imposé par Louis, Patrick , Olivier et François devant sur le plat ! Heureusement je roule avec Gerda et Bernard Oziol qui m'attendent.
A Port de la Selva, la remontée sur l'embranchement de Cadaqués me confirme ce que je craignais : c'est pas la grande forme, j'ai faim et soif, je m'accroche à Bernard qui n'est pas à son meilleur niveau actuellement non plus et Gerda nous lâche irrésistiblement. Je termine l'ascension avec peine et l'arrivée au sommet, puis la redescente sur Rosas sont les bienvenus. A l'hôtel, avec Bernard nous filons directement au bar pour avaler d'un trait un bon demi bien frais. Ah que ça fait du bien ! Il y a des petits plaisirs comme ça qui ne se commandent pas ! Nous y retrouvons Olivier et Pascal qui ont eu la même idée que nous. Vite la douche et le repas compensateur bien mérité.
A noter qu'avec Yves Brepson comme coach, notre Président escaladera deux cols pour aller de Rosas à Cadaqués et qu'Yvette a fait quelques sorties.
Le dernier après midi sera consacré à la visite de la Marina locale à Empuria Brava. C'est la fête du bateau qui se prépare pour le week-end. Jacky Maréchal, le chti-mi, a une belle pensée pour son épouse Marie-Blanche, restée dans le Nord, en lui achetant un tee-shirt. La tournée du patron prise au bord d'un des canaux de cette cité lacustre terminera en beauté l'après-midi.
A 19h30 nous trinquons pour le pot de départ en sirotant notre dernière sangria et en dégustant nos derniers tapas. Discours de notre Président apparemment satisfait de son séjour et de ses troupes et hommage mérité avec petits cadeaux à la clé aux Warin, initiateurs et organisateurs de ce beau séjour Espagnol, sans fausses notes, qui aura marqué les esprits. Le mot de la fin indispensable sera énoncé par Michel Cantalou dont la forme revient de jour en jour. Une pensée à tous nos autres camarades du Club, absents, qui nous ont manqué.
Dernier repas, dernière veillée au bar, dernière nuit au « Maritim », bercés par le bruit des vagues.
Samedi matin, tout le monde s'affaire pour réinstaller ses valises et ses vélos dans les voitures, les « S.N.C.F. » prendront le car jusqu'à Figueras, James et Michel Bernard et leurs épouses respectives, profiteront de l'Espagne encore quelques jours.

Le bilan...
Bilan plus que positif, Michel et Dominique peuvent dormir tranquille, la fête fût belle et le bruit courrait dans les coursives qu'il y aurait peut-être une nouvelle migration l'année prochaine. Avec tout le bien que l'on va en dire autour de nous, je parie pour un nombre de participants largement supérieur si l'expérience est renouvelée.
Louis et Gerda ont promis de nous rendre visite pour notre randonnée le 18 Avril 2010 à Brévannes.
Retour venté et humide, sur l'autoroute la température est même descendue à 3° seulement entre Millau et Clermont-Ferrand, histoire de bien nous faire comprendre que la fiesta était terminée et que nous nous éloignons bel et bien de la Catalogne.
Toute bonne chose a une fin, ne serait-ce que pour en recommencer une autre.
A plus sur le vélo...
JPB
Nos photos sont ici!
Et là, les photos de nos amis belges Louis et Gerda.
Témoignage de Jada, Posté le lundi 05 avril 2021 08:42
Je fais ce témoignage au maître EWOUBO pour aider ceux qui doute de sa puissance. Tout allait bien dans ma famille quand j'ai rencontré pour la première fois l'enseignant de ma fille ainé que mon mari a invité à l'anniversaire de notre fils. J'ai commencé à tromper mon mari avec cet homme. Il a fini par découvrir cela avec des preuves et a quitté la maison avec les enfants sans que je n'ai la possibilité d'entendre la voix de mes enfants. Il voulait le divorce. J'avoue que j'ai été infidèle mais il a toujours demeure l'amour de ma vie. C'était donc insupportable pour moi. J'ai expliqué la situation à un ami qui m'a donné les coordonnées du maître EWOUBO. J'ai repris contact avec lui et planifié une visite. J'ai pris un vol la même semaine et je suis allé dans son couvent. Il m'a promis que mon mari me reviendrait en 72 heures avec mes enfants. J'ai payé tout ce qu'il a demandé pour les rituels qui d'ailleurs ont été faits devant moi. J'étais curieux de voir comment mon mari s'y prendrait pour revenir de lui-même malgré que j'étais fautive. Tenez-vous tranquille après mon retour à Toulouse. Il n'a fallu que 48h pour que mon mari rentre avec les enfants. J'étais ébloui par la force de frappe de EWOUBO. Je le recommande à tous. Il a le potentiel requis pour ce type de travaux.
Voici son coordonnées
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